Mini-diète détox ayurvédique
Mini-diète détox ayurvédique
- 26 avril 2021
-
Marie
L'Ayurvéda, ça vous parle ?
Depuis plus de 3 millénaires, la médecine traditionnelle indienne est reconnue à travers le monde pour les bienfaits qu’elle procure au corps et à l’esprit. L’Ayurvéda repose sur des principes simples permettant de maintenir le corps en état de santé, c’est un véritable art de vivre.
Selon cette médecine, chaque individu est né avec une constitution individuelle unique appelé dosha ou « humeur biologique ». Celle-ci détermine le fonctionnement propre à chacun sur les plans physiologique, psychologique et émotionnel.
Cette constitution est déterminée sur la base des 3 énergies vitales fondamentales : vata, pitta et kapha. L’équilibre existant entre ces 3 énergies, avec généralement une prédominance pour l’une d’entre elles, définit alors le dosha. C’est pour cela qu’on dit que quelqu’un est plutôt, vata, pitta ou kapha. Mais cette constitution fluctue dans la vie en fonction de l’âge, du style de vie, de la saison, de l’heure de la journée.
En Ayurvéda, lorsque des symptômes ou des maladies apparaissent cela signifie que des déséquilibres se sont créés dans le corps et l’esprit. Lorsqu’une personne connaît son dosha, elle peut travailler sur elle en faisant attention aux excès et en travaillant sur ses points faibles pour retrouver l’harmonie. Des modifications dans l’alimentation et le mode de vie permettent de rééquilibrer cette constitution.
Selon cette médecine, chaque individu est né avec une constitution individuelle unique appelé dosha ou « humeur biologique ». Celle-ci détermine le fonctionnement propre à chacun sur les plans physiologique, psychologique et émotionnel.
Cette constitution est déterminée sur la base des 3 énergies vitales fondamentales : vata, pitta et kapha. L’équilibre existant entre ces 3 énergies, avec généralement une prédominance pour l’une d’entre elles, définit alors le dosha. C’est pour cela qu’on dit que quelqu’un est plutôt, vata, pitta ou kapha. Mais cette constitution fluctue dans la vie en fonction de l’âge, du style de vie, de la saison, de l’heure de la journée.
En Ayurvéda, lorsque des symptômes ou des maladies apparaissent cela signifie que des déséquilibres se sont créés dans le corps et l’esprit. Lorsqu’une personne connaît son dosha, elle peut travailler sur elle en faisant attention aux excès et en travaillant sur ses points faibles pour retrouver l’harmonie. Des modifications dans l’alimentation et le mode de vie permettent de rééquilibrer cette constitution.

L'Ayurvéda et moi
J’ai découvert cette médecine holistique, il y a quelques années maintenant via les livres Yogi Food de Clémentine Erpicum et la Bible de l’Ayurvéda de Fabien Correch et Nathalie Ferron. Ces lectures m’ont donné envie d’aller un peu plus loin. J’ai commencé à intégrer progressivement des rituels à mon quotidien.
L’an dernier, j’ai poussé la porte d’une praticienne ayurvédique, Gwenaëlle du centre de yoga Ayog, afin de réaliser un bilan ayurvédique et ainsi déterminer ma constitution et mes déséquilibres éventuels. Cette première séance m’avait beaucoup enthousiasmé et donné des clés de lecture par rapport à ce que je pouvais vivre ou ressentir au quotidien.
Dans la pratique de l’Ayurvéda, il est recommandé à chaque changement de saison de réaliser un nettoyage du corps et de l’esprit. Différentes méthodes existent plus ou moins intrusives. J’avais envie de tester depuis quelques temps mais je ne savais pas vraiment vers laquelle me tourner.
Suite à un échange avec Gwenaëlle, j’ai découvert qu’elle proposait un module d’accompagnement pour une mini diète détox ayurvédique. Ayant déjà réalisé une mono-diète de riz, il y a 3 ans, je sais à quel point cela peut être difficile alors je me suis dit que c’était l’occasion de me lancer tout en étant accompagnée.
Concrètement, le suivi se traduisait de la manière suivante :
– Un entretien personnalisé avant le début de la mini-diète pour s’adapter à sa constitution et aux déséquilibres potentiels
– Un mail de recommandations adressé chaque jour pendant une semaine
L’an dernier, j’ai poussé la porte d’une praticienne ayurvédique, Gwenaëlle du centre de yoga Ayog, afin de réaliser un bilan ayurvédique et ainsi déterminer ma constitution et mes déséquilibres éventuels. Cette première séance m’avait beaucoup enthousiasmé et donné des clés de lecture par rapport à ce que je pouvais vivre ou ressentir au quotidien.
Dans la pratique de l’Ayurvéda, il est recommandé à chaque changement de saison de réaliser un nettoyage du corps et de l’esprit. Différentes méthodes existent plus ou moins intrusives. J’avais envie de tester depuis quelques temps mais je ne savais pas vraiment vers laquelle me tourner.
Suite à un échange avec Gwenaëlle, j’ai découvert qu’elle proposait un module d’accompagnement pour une mini diète détox ayurvédique. Ayant déjà réalisé une mono-diète de riz, il y a 3 ans, je sais à quel point cela peut être difficile alors je me suis dit que c’était l’occasion de me lancer tout en étant accompagnée.
Concrètement, le suivi se traduisait de la manière suivante :
– Un entretien personnalisé avant le début de la mini-diète pour s’adapter à sa constitution et aux déséquilibres potentiels
– Un mail de recommandations adressé chaque jour pendant une semaine
Mais plus précisément, la mini-diète ça se passe comment ?
C’est très simple, pendant 3, 4 ou 5 jours en fonction de son ressenti, il s’agit de :
1. Manger un plat unique : le kitcharee
2. Boire une tisane « détox » tout au long de la journée
3. Se masser le matin
Une période d’adaptation est prévue en amont afin de retirer progressivement, les laitages, le sucre, la viande, le thé, le café …. Ce moment peut être un peu douloureux car les toxines commencent à s’éliminer, des maux de tête ou divers troubles désagréables peuvent apparaître.
Pendant cette mini-diète, l’objectif est d’alléger le corps en réduisant le nombre d’ingrédients ingérés dans la journée pour permettre à la digestion de se faire plus facilement et ainsi relancer le feu digestif « Agni ». Ce dernier peut-être en berne ou se dérégler, la mini-diète permet de venir le réguler et le redynamiser notamment grâce aux épices.
Le kitcharee est le plat phare de ce moment. A base d’épices, il est composé uniquement de 3 ingrédients : riz, haricots mungo et un légume racine.
Toute la journée, une tisane « détox », composée d’un mélange d’épices, est bue toutes les heures en petite quantité. Cette boisson va aller imbiber les tissus profonds et aider le corps à se détoxifier. Elle est prise pendant la période de la diète mais peut être continuée au-delà jusqu’à 6 semaines.
Le matin, un auto-massage des jambes et des bras est préconisé de manière à venir libérer les toxines en profondeur et à les déplacer vers les glandes lymphatiques. L’idéal étant de remettre ses vêtements et laisser l’huile bien infuser dans les tissus avant de prendre sa douche.
2. Boire une tisane « détox » tout au long de la journée
3. Se masser le matin
Une période d’adaptation est prévue en amont afin de retirer progressivement, les laitages, le sucre, la viande, le thé, le café …. Ce moment peut être un peu douloureux car les toxines commencent à s’éliminer, des maux de tête ou divers troubles désagréables peuvent apparaître.
Pendant cette mini-diète, l’objectif est d’alléger le corps en réduisant le nombre d’ingrédients ingérés dans la journée pour permettre à la digestion de se faire plus facilement et ainsi relancer le feu digestif « Agni ». Ce dernier peut-être en berne ou se dérégler, la mini-diète permet de venir le réguler et le redynamiser notamment grâce aux épices.
Le kitcharee est le plat phare de ce moment. A base d’épices, il est composé uniquement de 3 ingrédients : riz, haricots mungo et un légume racine.
Toute la journée, une tisane « détox », composée d’un mélange d’épices, est bue toutes les heures en petite quantité. Cette boisson va aller imbiber les tissus profonds et aider le corps à se détoxifier. Elle est prise pendant la période de la diète mais peut être continuée au-delà jusqu’à 6 semaines.
Le matin, un auto-massage des jambes et des bras est préconisé de manière à venir libérer les toxines en profondeur et à les déplacer vers les glandes lymphatiques. L’idéal étant de remettre ses vêtements et laisser l’huile bien infuser dans les tissus avant de prendre sa douche.
Comment ai-je vécu cette période ?
J’ai commencé cette mini-diète par mon entretien personnalisé avec Gwenaëlle afin de déterminer les déséquilibres du moment et ainsi d’adapter la durée de la mini-diète et la tisane à ma constitution.
Bilan de cet entretien : j’avais le feu digestif Agni au plus bas, l’objectif principal était d’aller le relancer au maximum. Les recommandations étaient donc les suivantes :
– Manger du kitcharee le midi et pour le soir des flocons de riz avec du lait de riz et des raisins secs réhydratés mais si la faim n’était pas présente, j’avais la possibilité de jeûner ;
– Boire de la tisane avec des épices pour Vata. J’ai commencé cette mini-diète, le mardi 9 mars en retirant le thé, le café, les oeufs, le petit verre de vin… Pour ma part, cela a été assez simple car je ne mange pas de viande ni de laitages et très peu de sucre au quotidien. J’ai également débuter la tisane détox, mais en me trompant dans les proportions (j’ai mis la quantité d’une semaine d’épices dans ma tisane du premier jour!), ça a été un peu dur pour mon petit ventre. Dès ce premier jour, j’ai mangé un plat de riz et lentilles avec un légume mais pas la “vraie” version du kitcharee. Les lentilles corails peuvent remplacer les haricots mungos, il s’agit d’une variante possible. J’ai continué avec cette alimentation allégée jusqu’au jeudi. Pendant, ces premiers jours, j’ai commencé à sentir le travail à l’intérieur, des petits maux de tête, de la fatigue.
J’ai aussi eu le bonheur de découvrir l’auto-massage à l’huile de sésame et j’avoue que c’est un point que j’ai beaucoup aimé dans cette mini-diète. J’ai ressenti de réels bienfaits au niveau des jambes et de la circulation sanguine.
J’ai officiellement commencé le kitcharee le vendredi. J’adore ce plat car il est composé d’ingrédients et d’épices que j’affectionne particulièrement. C’est un plat facile à réaliser, Gwenaëlle nous avait transmis la recette et les recommandations dans un mail en amont. Il faut juste anticiper le trempage du riz et des haricots la veille ce qui permet de diminuer le temps de cuisson.
J’ai réalisé la diète du vendredi au mardi suivant. Au fil des jours, j’ai commencé à sentir des améliorations au niveau de la digestion, un regain d’énergie, un apaisement du mental.
Après ces 4 jours, j’ai progressivement réintroduit d’autres aliments. J’ai pris le temps de choisir ce que je voulais vraiment manger, ce dont mon corps avait besoin. Grâce à cette mini-diète, je me suis reconnectée à ma faim, le feu digestif est peu à peu remonté. J’ai aussi poursuivi la tisane détox quelques jours.
L’auto-massage était vraiment très agréable, j’ai senti mon corps dégonfler, s’alléger. D’ailleurs, j’essaye de continuer à réaliser ces sessions de manière régulière (2 ou 3 fois par semaine).
J’ai aussi ressenti un travail important au niveau du mental. L’accompagnement est donc essentiel pour tenir dans la durée. Les conseils de Gwenaëlle ont été précieux pour continuer chaque jour. Je recommande vraiment cette pratique qui amène de la légèreté dans le corps et l’esprit.
Merci à Gwenaëlle pour son professionnalisme ainsi que pour la qualité du suivi apporté. Je vous mets le lien vers son site, si vous souhaitez en savoir plus.
Vivement l’automne pour recommencer !
Bilan de cet entretien : j’avais le feu digestif Agni au plus bas, l’objectif principal était d’aller le relancer au maximum. Les recommandations étaient donc les suivantes :
– Manger du kitcharee le midi et pour le soir des flocons de riz avec du lait de riz et des raisins secs réhydratés mais si la faim n’était pas présente, j’avais la possibilité de jeûner ;
– Boire de la tisane avec des épices pour Vata. J’ai commencé cette mini-diète, le mardi 9 mars en retirant le thé, le café, les oeufs, le petit verre de vin… Pour ma part, cela a été assez simple car je ne mange pas de viande ni de laitages et très peu de sucre au quotidien. J’ai également débuter la tisane détox, mais en me trompant dans les proportions (j’ai mis la quantité d’une semaine d’épices dans ma tisane du premier jour!), ça a été un peu dur pour mon petit ventre. Dès ce premier jour, j’ai mangé un plat de riz et lentilles avec un légume mais pas la “vraie” version du kitcharee. Les lentilles corails peuvent remplacer les haricots mungos, il s’agit d’une variante possible. J’ai continué avec cette alimentation allégée jusqu’au jeudi. Pendant, ces premiers jours, j’ai commencé à sentir le travail à l’intérieur, des petits maux de tête, de la fatigue.
J’ai aussi eu le bonheur de découvrir l’auto-massage à l’huile de sésame et j’avoue que c’est un point que j’ai beaucoup aimé dans cette mini-diète. J’ai ressenti de réels bienfaits au niveau des jambes et de la circulation sanguine.
J’ai officiellement commencé le kitcharee le vendredi. J’adore ce plat car il est composé d’ingrédients et d’épices que j’affectionne particulièrement. C’est un plat facile à réaliser, Gwenaëlle nous avait transmis la recette et les recommandations dans un mail en amont. Il faut juste anticiper le trempage du riz et des haricots la veille ce qui permet de diminuer le temps de cuisson.
J’ai réalisé la diète du vendredi au mardi suivant. Au fil des jours, j’ai commencé à sentir des améliorations au niveau de la digestion, un regain d’énergie, un apaisement du mental.
Après ces 4 jours, j’ai progressivement réintroduit d’autres aliments. J’ai pris le temps de choisir ce que je voulais vraiment manger, ce dont mon corps avait besoin. Grâce à cette mini-diète, je me suis reconnectée à ma faim, le feu digestif est peu à peu remonté. J’ai aussi poursuivi la tisane détox quelques jours.
L’auto-massage était vraiment très agréable, j’ai senti mon corps dégonfler, s’alléger. D’ailleurs, j’essaye de continuer à réaliser ces sessions de manière régulière (2 ou 3 fois par semaine).
J’ai aussi ressenti un travail important au niveau du mental. L’accompagnement est donc essentiel pour tenir dans la durée. Les conseils de Gwenaëlle ont été précieux pour continuer chaque jour. Je recommande vraiment cette pratique qui amène de la légèreté dans le corps et l’esprit.
Merci à Gwenaëlle pour son professionnalisme ainsi que pour la qualité du suivi apporté. Je vous mets le lien vers son site, si vous souhaitez en savoir plus.
Vivement l’automne pour recommencer !
Journée internationale du yoga
-
Marie
C’est le 11 décembre 2014, lors de la 69ème Assemblée Générale des Nations Unies que cette journée est née.
L’Inde a proposé un projet de résolution qui a été présenté et introduit par son initiateur, son premier ministre Narendra Modi. Reconnaissant sa popularité universelle, la résolution a été adoptée unanimement par les états membres, ainsi naissait la journée internationale du yoga.
Cette journée vise à sensibiliser le public aux nombreux bénéfices de cette pratique tant sur le corps que sur l’esprit et montrer que cette approche vis-à-vis de notre santé et de notre bien-être peut aussi avoir des effets plus vastes sur le monde qui nous entoure, nos proches, et plus globalement sur notre mode de vie.
En ce 21 juin 2020, venez célébrer la 6ème journée internationale du yoga.
De Paris à Tokyo, les passionnés du monde entier se réunissent pour pratiquer.
De nombreux évènements sont organisés sur Nantes et dans notre région, n’hésitez pas à y prendre part. La Mission permanente de l’Inde auprès des Nations Unies a organisé des célébrations en ligne pour cette 6e Journée internationale du yoga ! Cet événement a eu lieu le 19 juin 2020. Pour ceux.celles qui seraient intéressé.e.s, il est disponible en replay sur le site de l’ONU.
Je ne sais pas vous mais de mon côté je me suis demandée pourquoi l’ONU ?
Ce sont les états membres de l’Assemblée Générale des Nations Unies qui proposent de nouvelles journées sur des thèmes à enjeux majeurs comme les droits fondamentaux, le développement durable ou la santé. L’Assemblée Générale décide par accord de sa majorité de toute nouvelle journée. C’est la raison pour laquelle, on dit qu’une journée internationale est proclamée par l’Assemblée générale de l’ONU.
Selon l’ONU, les journées internationales sont une formidable opportunité pour informer le grand public. Elles sont l’occasion pour les pouvoir publics mais aussi la société civile d’organiser des activités de sensibilisation et de mobiliser des ressources.
L’Inde a proposé un projet de résolution qui a été présenté et introduit par son initiateur, son premier ministre Narendra Modi. Reconnaissant sa popularité universelle, la résolution a été adoptée unanimement par les états membres, ainsi naissait la journée internationale du yoga.
Cette journée vise à sensibiliser le public aux nombreux bénéfices de cette pratique tant sur le corps que sur l’esprit et montrer que cette approche vis-à-vis de notre santé et de notre bien-être peut aussi avoir des effets plus vastes sur le monde qui nous entoure, nos proches, et plus globalement sur notre mode de vie.
En ce 21 juin 2020, venez célébrer la 6ème journée internationale du yoga.
De Paris à Tokyo, les passionnés du monde entier se réunissent pour pratiquer.
De nombreux évènements sont organisés sur Nantes et dans notre région, n’hésitez pas à y prendre part. La Mission permanente de l’Inde auprès des Nations Unies a organisé des célébrations en ligne pour cette 6e Journée internationale du yoga ! Cet événement a eu lieu le 19 juin 2020. Pour ceux.celles qui seraient intéressé.e.s, il est disponible en replay sur le site de l’ONU.
Je ne sais pas vous mais de mon côté je me suis demandée pourquoi l’ONU ?
Ce sont les états membres de l’Assemblée Générale des Nations Unies qui proposent de nouvelles journées sur des thèmes à enjeux majeurs comme les droits fondamentaux, le développement durable ou la santé. L’Assemblée Générale décide par accord de sa majorité de toute nouvelle journée. C’est la raison pour laquelle, on dit qu’une journée internationale est proclamée par l’Assemblée générale de l’ONU.
Selon l’ONU, les journées internationales sont une formidable opportunité pour informer le grand public. Elles sont l’occasion pour les pouvoir publics mais aussi la société civile d’organiser des activités de sensibilisation et de mobiliser des ressources.